[L’été des éditeurs] Interview de Chibi
Cette année, avant de partir en vacances, nous avons eu l’idée d’interviewer tous les éditeurs de jeu de rôle en France. Les professionnels, comme les auto-éditeurs. Cette rubrique estivale, intitulée « L’été des éditeurs », proposera 3 interviews par jour.
Cette idée n’aurait jamais pu se concrétiser sans la participation de chacun, c’est pourquoi toute la rédaction du Fix remercie La collection Chibi pour avoir pris le temps de répondre à nos questions.
Bonne lecture, bonnes vacances et surtout : bon jeu !
1. C’est l’heure des vacances ! Estimez-vous qu’elles arrivent à point pour vous au regard de votre actualité des mois passées ?
Pas de vacances pour les braves. De toute manière, si j’avais des vacances, j’en profiterai pour faire du JdR. Donc, du coup, je fais du JdR. C’est surtout les vacances pour ma femme et mes enfants. Du coup, c’est aussi des vacances pour moi, parce qu’ils sont plus souvent à la maison aussi. Bref.
2. Du coup, vous mettez la clef sous la porte pendant deux mois ou vous profitez de la torpeur estivale pour mettre un bon coup de collier ?
Coup de collier, pas vraiment. On va prendre les choses tranquillement. Il y a deux jeux à boucler cet été – Technoir en juillet et The Frontier pour la fin août. C’est l’objectif. Plus les petits trucs persos qui traînent si je dégage un peu de temps… et aussi d’autres projets dont je ne parlerai pas pour l’instant…
3. On vous retrouvera à la rentrée de septembre avec quelle actualité ?
Il y aura eu les deux jeux cités plus haut dans l’été. Donc septembre, je ne sais pas encore. J’ai plein de choses qui doivent arriver sur le haut de la pile. Il y a des urgences et aussi des choses pressées, plus quelques trucs à boucler à tout prix. On verra qui l’emporte.
4. Auriez-vous un jeu à conseiller à nos lecteurs pour jouer pendant les vacances ?
Donjon sans façon. Pas beaucoup de matériel nécessaire, un bouquin pas très épais, des règles très simples quand on est déjà à son quatrième pastis et que les gamins ont mal dormi à cause de la chaleur. Ou alors Technoir, pour changer du dernier Goncourt.