Lankhmar vous ouvre ses portes
Amateur de la saga culte de Fritz Leiber, réjouissez-vous car cette semaine sort en boutique le magnifique coffret : Lankhmar, la cité des voleurs.
Ce dernier contient –presque– tout le nécessaire pour jouer dans l’univers de Nehwon et plus particulièrement, dans les ruelles sombres de Lankhmar. Pourquoi « presque » ? Parce que vous aurez besoin du livre de base Savage Worlds (également édité chez Black Book Edition) pour pouvoir y jouer. Et jouer, il en est clairement question dans ce coffret puisque, tout ouvrage confondu, vous y trouverez pas moins de 19 « intrigues » (mini-scénarios) et une campagne en quatre scénarios.
Mais entrons un peu plus dans le détail et voyons ensemble ce que contient le coffret.
La cité des voleurs
Ouvrage A5 de 96 pages, tout couleur, couverture rigide. La cité des voleurs contient tout le nécessaire pour créer son personnage et pressente l’univers et ses règles : la magie, l’équipement, la description de Nehwon (le monde) et de sa ville la plus importante : Lankhmar. L’ouvrage se termine par deux scénarios et contient également une carte de la ville format A3.
Les ennemis de Nehwon se présente sous le même format que la cité des voleurs. Il se compose principalement d’un bestiaire (monstres, amis et ennemis). Mais il contient également un générateur d’aventures (10 pages) et se conclut par 3 petits scénarios.
Aventures de la guilde des voleurs est, comme son nom l’indique, un recueil de 14 mini-aventures centrées sur la plus grande guilde de Lankhmar, celle des…. voleurs. C’est bien, je vois que vous suivez. Ces intrigues sont surtout là pour enrichir vos propres scénarios ou la campagne proposée avec l’écran (cf. ci-dessous) et pour donner vie à la ville. Puisque chaque mini-scénario est prétexte à mettre en jeu tel PNJ, tel faction ou tel lieu. Éléments qui pourront devenir récurrents dans vos parties.
Et ce n’est pas tout !
Le coffret contient également un magnifique écran (hauteur A5) et un livret proposant une campagne en quatre scénarios, intitulé : les yeux de Goro’Mosh.
Bientôt, la critique dans le Fix.
