Scoop ! Derrière le système Pathfinder se cacherait bel et bien un univers.

Pathfinder est surtout connu pour son système dérivé de l’édition 3.5 d’un très célèbre JdR. Puis, à travers sa deuxième édition, il a su se démarquer pour trouver sa propre voie. Même si encore aujourd’hui, on a tendance à mettre en avant sa mécanique de jeu et ainsi faire le raccourcis « Pathfinder, c’est pour les amateurs de système velu », on oublie que Pathfinder, c’est avant tout un univers. C’est pourquoi, à travers cet article, on va essayer de vous faire découvrir un lore extrêmement riche et, pourquoi pas, cassez vos pré-jugés.

Sur la droite, on distingue bien les gros préjugés

Les origines d’un nouveau pilier du JDR

Paizo, initialement éditeur d’aventures pour Donjons et Dragons 3ème édition, a lancé son premier jeu en 2007 (Pathfinder 1, dérivé de la version 3.5 de D&D) puis son second en 2017 (Starfinder, adaptation de Pathfinder dans une timeline beaucoup plus futuriste) et un troisième en 2019 (Pathfinder 2, se démarquant assez radicalement de son aîné). Les règles de ces deux systèmes sont publiques, et disponibles gratuitement via le site aonprd.com

Si Paizo a décidé de rendre accessibles à tous les règles de ses jeux, c’est sans doute au départ une question de stratégie commerciale. Pour exister et attirer un public jouant très majoritairement à Donjons et Dragons au moment où celui-ci lançait sa 4ème édition, offrir le libre accès aux règles est une bonne idée.

Avec un système de jeu accessible à tous, Paizo s’est donc concentré sur la production d’aventures, permettant ainsi le développement de son propre univers. Golarion était né.

Bienvenue en terrain connu

Le côté unique de cet univers est son concept de patchwork : le but est que quelle que soit l’ambiance dans laquelle vous souhaitez jouer votre partie, vous pourrez la jouer sur Golarion. Quelques exemples dans le désordre :

  • Envie d’un combat de navires pirates entre une jungle et un maelstrom ? Jouez dans Les Entraves, un ensemble d’îles où fonder votre propre Tortuga.
  • Un désir d’explorer les tréfonds des mondes souterrains ? Les cavernes de l’Ombreterre sous la surface forment un ensemble encore mal connu et où les dangers rôdent au sein de trois « couches » successives toujours plus profondes.
  • Vous êtes plutôt adeptes d’un japon médiéval ? Foncez au Minkaï, un des nombreux pays du continent du Tian Xia, et fondez votre propre dynastie.
  • Si vous êtes plutôt d’humeur à lancer des raids vikings au travers de mers gelées et d’océans déchainés, le Pays des Rois des Linnorms sont un endroit rêvé pour vous. Peut-être même deviendrez-vous un roi vous-même… ?

Certaines de ces régions sont connues grâce aux campagnes publiées (Korsova avec Le trône écarlate, Otari, Tian Xia avec Le régent de Jade, etc.). Chacune d’entre elle propose une histoire inscrite dans un contexte ciblé et qui permet d’explorer une contrée, ou plusieurs. Mais bien souvent ce sont les aventures que les joueurs vivent qui sont au cœur de l’histoire racontée dans les autres ouvrages de la gamme (via la pathfinder society. Cf ci-dessous)

En parallèle de ces campagnes prêtes-à-jouer, les autres régions, moins mises en avant, ne sont pas pour autant oubliées. L’éditeur publie des ouvrages de « lore » pour permettre à tout à chacun de créer ses propres aventures. Ce sont des ouvrages illustrés, très intéressants, qui sont là pour donner des informations sur un continent, un pays, voire un village emblématique et ses environs.

La série « Pathfinder Campaign Settings » publiée avant 2019 dépeint le monde de Golarion au travers de dizaines de livres, chacun dédiés à un thème. Par exemple, le plus récent (Druma, Profit and Prophecy) parle du Druma, un pays dirigé tout entier par une secte poussant au maximum l’idée de commerce et d’accumulation de la richesse, dans un but mystérieux.

Un autre (Sandpoint, Light of the Lost Coast) décrit sur plus de 100 pages le village de Pointesable, le petit patelin le plus célèbre de la Varaisie, et le point de départ de plusieurs aventures (dont la toute première, ainsi que la 200ème : Seven Dooms of Sandpoint, publiée en avril 2024 et bientôt traduite par Black Book Edition).

La série Pathfinder Lost Omens a pris la suite lorsque Pathfinder 2 a pris la relève de son digne ancêtre. Ses volumes sont plus gros, parfois massifs (plus de 400 pages pour certains) et regroupent des informations de lore, mais aussi comme précédemment des options jouables.

De part leur coté « encyclopédique », ces ouvrages sont autant destinés au meneur qu’aux joueurs. Leur contenu est inédit par rapport à la première édition, car il tient compte de l’évolution du monde tel que le façonnent les campagnes et les joueurs.

Par ailleurs, d’autres supports sont utilisés pour faire avancer ou dépeindre le lore de Golarion. Les scénarios de la Société des Eclaireurs notamment (Pathfinder Society, en VO), qui permettent de sortir des événements majeurs des aventures pour explorer des endroits ou des situations plus anonymes, moins bien documentés. Mais également des romans, des nouvelles, et même des bandes dessinées !

Ce type de contenu est malheureusement réservé aux joueurs à l’aise avec l’anglais : à ce jour, les scénarios de la Société ne sont pas disponibles en français et seules 3 bande-dessinées existent dans notre langue : La montée des eaux troubles, Le tombeau des gueux et Les enfants de Lamashtu aux éditions Glénat.

Un cocktail de bonnes choses

La planète principale, là où se déroulent la quasi-totalité des aventures, s’appelle Golarion. Elle se divise en 7 continents : l’Avistan (représentant l’Europe), le Garund (l’Afrique), le Casmaron (le Moyen-Orient), le Tian-Xia (l’Asie), la Couronne du Monde (le Pôle Nord) et le Sarusan (l’Australie).

L’univers développé par Paizo est particulier : il est construit donc comme un patchwork, avec une ambiance différente pour chaque pays. Rien qu’en Avistan, la région la plus explorée par les aventures officielles et les ouvrages de la série des Présages Perdus.

Se côtoient des vikings, une nation esclavagiste aux ordres des Diables, une nation de chevaucheurs de mammouths chasseurs-cueilleurs, une principauté maudite à l’ambiance très londonienne du 19ème siècle, des royaumes plus classiques, caractéristiques de l’heroic-fantasy comme les cité naines ou les forêts elfiques, et même un pays froid où des barbares en peaux de bêtes vivent à proximité d’un vaisseau spatial écrasé et de robots tueurs.

Carte disponible sur Internet, qui donne une bonne idée du patchwork dont on parle.

Et vous avez là qu’une poignée de pays, sur un seul continent, sur une seule planète. Aussi bizarre que paraisse ce patchwork, il est étrangement cohérent : l’univers possède une histoire extrêmement fournie s’étalant sur plus de 10 millénaires. L’histoire de Golarion est également le théâtre de percées technologiques comme de régressions, au fil des cataclysmes qui la parsèment.

Pour s’y retrouver, la grande histoire est divisée en 5 grands Âges, et s’écrit au fil du temps : chaque parution, petite ou grande, de Paizo fait évoluer le lore de l’univers au même rythme en jeu que dans notre réalité. Une année sur Golarion correspond à une année pour ses lecteurs. Cet aspect permet d’impliquer les lecteurs dans l’histoire : on se surprend à débattre de tel ou tel changement de politique d’une nation majeure, des conséquences d’une aventure particulière sur la géopolitique globale ou sur le destin d’un personnage qu’on apprécie ou qu’on redoute… Un peu de la même manière qu’on suivrait une série sur Netflix, sauf qu’ici, on influe sur le scénario des saisons futures.

Quand Pathfinder gagne un niveau

L’évolution entre la première et la deuxième édition de Pathfinder s’est faite de manière très naturelle, puisque l’univers est le même. Les anciennes intrigues ont été poursuivies, de nouvelles sont apparues, la géopolitique a continué sa perpétuelle mue…

Au final, c’est le récent passage de Pathfinder 2 en version Remaster qui a provoqué le plus d’évolutions.

Afin de s’éloigner définitivement de l’Open Gaming Licence (OGL), la licence partagée jusqu’ici entre Paizo (Pathfinder, Starfinder), Wizard of the Coast (Donjons et Dragons) et d’autres éditeurs, la société Paizo a fait le choix de cesser de publier sous cette licence commune et de lancer sa propre licence, l’ORC (pour Open RPG Creative). Cette décision a entrainé une mise à jour du lore pour en extraire les éléments propriétaires d’autres éditeurs. Les sources de ce schisme viennent évidemment de « l’OGL-gate » de 2022/2023.

Cependant, ces modifications sont assez mineures par rapport à l’immense contenu publié. L’univers reste globalement le même. Par exemple : les 8 écoles de magie et l’alignement « classique » du Loyal Bon au Chaotique Mauvais ne sont plus utilisés, de nouveaux dragons inédits font leur apparition…

La seule modification radicale concerne les Drows, ou elfes sombres. Ils ont fait l’objet d’une aventure publiée en 2008 (Second Darkness, la 3ème publiée par Paizo), mais étant considérés comme trop liés à l’univers de Donjons et Dragons, ils ont été supprimés du lore PF2 avec le passage en Remaster, et ont été remplacés en tant qu’antagonistes par d’autres habitants souterrains.

Explorer ou mourir, telle est la question

L’univers de Pathfinder évolue en continu grâce aux publications mensuelles de Paizo, mais également grâce aux choix des joueurs au sein de la campagne mondiale de la Pathfinder Society.

C’est une campagne « vivante » dont les scénarios officiels sortent chaque mois, et qui se déroule en parallèle des aventures emblématiques plus connues des joueurs. Le principe est simple : les joueurs sont tous membres de la Société des Eclaireurs, une guilde d’aventuriers et d’explorateurs-archéologues existant au sein du lore.

En tant que membres de cette organisation, il leur est attribué diverses missions, et les personnages que l’on incarne évoluent entre chaque scénario, évoluant et gagnant de l’expérience. Les missions qui sont données peuvent être d’échelles radicalement différentes, comme protéger un convoi marchand ou libérer un seigneur élémentaire emprisonné depuis une éternité par ses ennemis.

Et c’est en ça que cette campagne fait évoluer le lore : les choix des joueurs comptent. L’éditeur compile les choix qui ont été faits dans divers scénarios grâce aux rapports qui sont faits par les MJ, et ces choix (ou plutôt : les choix qui ont été majoritaires parmi toutes les tables de jeu qui ont joué un scénario donné) sont intégrés officiellement, donnant lieu à d’éventuelles suites ou à l’apparition de plans élémentaires inédits.

« Ma liche, je peux tout vous expliquer »

Mais en plus de ces lieux emblématique, l’univers est aussi peuplé de PNJs hauts en couleur, dont voici un aperçu :

Le « Grand Méchant » de la planète, qui revient à intervalles réguliers et force à chaque fois à une large coalition pour le faire reculer, est une liche : Tar-Baphon, le « Tyran qui Murmure ». C’est mon grand méchant préféré : tout le monde sait qu’il existe, il a même été vaincu plusieurs fois, mais revient systématiquement, toujours plus puissant. Son origine est mystérieuse et pour l’instant, il n’existe pas de moyens de le détruire pour de bon, mais qui sait ? Ses sbires tentent de le faire revenir dans l’aventure de la Couronne Putréfiée (PF1), et il déferle à nouveau sur le monde dans l’aventure Tyrant’s Grasp (non-traduite, PF1) qui marque la fin du contenu publié pour PF1 et la transition vers PF2.

Le prochain PNJ est un trio : Cayden Cailean, Norgorber et Iomedae. A l’origine ils étaient tous trois des humains mortels, et les trois ont intégré le top 20 des divinités majeures après avoir réussi le test de la Pierre-Étoile, une météorite tombée sur la planète il y a des éons. D’après la légende, Cayden a d’ailleurs passé le test en étant complètement ivre, et ne s’en souvient absolument pas ! En tant que dieux, ils sont en général absents des aventures publiées mais interviennent plus ou moins directement (Iomedae étant le plus directement impliquée, en tant que déesse des croisades, dans l’aventure mythique La Colère des Justes (PF1)).

Enfin, on peut citer en vrac :

  • les Seigneurs des Runes (apparaissant dans L’Eveil des Seigneurs des Runes et Le Retour des Seigneurs des Runes, PF1, et très impliqués dans L’Etoile Brisée, non-traduite, PF1)
  • le Decemvirat qui est le conseil des 10 personnes masqués et inconnues à la tête de la Société des Eclaireurs (présents dans toutes les saisons, PF2)
  • la Reine Galfrey (La Colère des Justes, PF1) qui a tenu bon contre une invasion démoniaque durant plus de 100 ans, et qui apparaît d’ailleurs dans le jeu vidéo : Pathfinder Wrath of the Righteous.

Revivre ces aventures en Haute Définition

Les jeux vidéo basés sur Pathfinder 1 sont au nombre de deux : Pathfinder Kingmaker et, donc, Pathfinder, Wrath of the Righteous, tous deux basés sur une campagne officielle publiée par Paizo, et édités par le studio Owlcat.

J’ai joué aux deux, et à mon avis ils sont tous deux excellents. Le jeu sorti en 2021 est d’ailleurs toujours actualisé et a reçu de nombreux DLC, dont un très récemment.

C’est une sensation très particulière de voir son univers de cœur représenté dans une œuvre comme ces deux-là, et incarner une équipe entière composée de personnages très attachants. Sans parler des compositions musicales que je trouve ahurissantes et qui rendent les jeux proprement épiques.

Jouer aux jeux vidéo, c’est d’ailleurs un très bon moyen de s’approprier l’univers et même la mécanique du jeu de rôle lorsqu’on découvre Golarion. Même si les règles de Pathfinder 1 y sont légèrement simplifiées par le changement de support (on ne joue pas à un jeu vidéo exactement comme à un jeu de rôle), c’est un très bon moyen de se familiariser au ton épique des campagnes, à la progression fulgurante des personnages et de leurs pouvoirs, et à la qualité d’écriture qui caractérise Paizo et que Owlcat a parfaitement rendue et même améliorée.

Plus récemment, j’ai testé le petit jeu Pathfinder Gallowspire Survivors, qui est sympathique… mais qui n’a pas vraiment de rapport avec le jeu de rôle, si ce n’est le thème : le joueur doit survivre dans Gallowspire, la prison où est enfermé Tar Baphon, le fameux Tyrant-qui-Murmure.

Paizo prépare, en partenariat avec BKOM, deux jeux basés sur Pathfinder 2. L’un d’eux est inspiré de son aventure à succès « Abomination Vault » et est actuellement en développement.

Il existe également un jeu indépendant que je n’ai pas testés mais qui a de bons retours : Dawnsbury Days, sur Steam, qui reprend les mécaniques de PF2.

« Il m’en reste un peu, je vous en remets ? »

Avec ses règles disponible gratuitement, on peut imaginer que Pathfinder est un terreau propice à accueillir des productions tiers compatible. Pour Pathfinder 1, il y a bien évidement toutes les productions issues de la version 3.5 de Donjons et Dragons, ou dérivé du système D20 (Eberron ou Chroniques Oubliées Fantasy) qui nécessiteront un peu d’huile de coude pour faire les conversions.

Concernant PF2, les jeux proposés par Roll for Combat (Battlezoo) et Sandy Petersen’s Cthulhu Mythos sont entièrement compatibles.

Roll for Combat est d’ailleurs une source d’excellents contenus tiers pour PF2, avec par exemple la campagne Jewel of the Indigo Isles (existe également au format de module clé-en-main pour Foundry-VTT pour le jeu en ligne). Le produit que je préfère chez eux est d’ailleurs gratuit, il s’agit du supplément Battlezoo Ancestries Fusion (avec support Foundry, encore une fois) qui permet à plusieurs joueurs d’incarner un seul avatar à plusieurs têtes, que ce soit un géant bicéphale, un cerbère ou une hydre. J’adore le concept !

Les productions pour PF1 ne sont pas en reste avec des produits comme Spheres of Power et Spheres of Might (par Drop Dead Studios), des règles alternatives pour PF1 qui changent drastiquement la manière dont le jeu s’articule, donnant des combats plus cinématiques et tactiques tant pour les classes martiales que magiques.

A noter que Paizo propose lui aussi du contenu compatible avec d’autres jeux, comme par exemple ses campagnes à succès Kingmaker (republiée pour Pathfinder 2 et D&D 5) et Abomination Vault (republiée pour D&D 5).

Quel chemin pour la suite ?

La deuxième et dernière partie du Remaster sortira en VO en juillet, avec 8 classes supplémentaires mises à jour.

Le lore de Golarion s’apprête à connaître des bouleversements d’une intensité encore jamais vue depuis 2007. Pour la première fois en jeu, un Dieu majeur va mourir (et nous savons lequel ! Mais nous ne spoilerons pas ici).

Cet événement va emmener à partir de ce mois d’août l’évènement de la « Guerre des Immortels », une guerre inter-planaire où de nouveaux pouvoirs vont être disponibles pour les joueurs : les pouvoirs Mythiques (qui existaient déjà sous Pathfinder 1, notamment dans La Colère des Justes). Cet événement va se dérouler sur plusieurs aventures, et va être développé dans un roman cet automne.

En parallèle, les sorties françaises suivent avec quelques années de retard : le premier livre de règle Remaster a eu la priorité et va sortir d’ici l’été, accompagné de deux ouvrages de lore de la série Lost Omens : Grand Bazar et Absalom, cité des prédictions perdues.

Une précommande a été lancé le 1er juillet 2024 sur Game on Tabletop pour la traduction des ouvrages suivants : Player Core 2 (Remaster), Monster Core (Remaster), La Couronne du Roi Kobold, une aventure iconique de Pathfinder 1 adaptée et améliorée pour PF2, et Les 7 Fléaux de Pointesable (Seven Dooms of Sandpoint), une aventure qui revient aux sources de Pathfinder, 17 ans après.

Alors, prêt à passer le pas ?

Une fois passé outre les préjugés du système (qui sont surtout issu de la première édition), on découvre que Pathfinder, c’est avant tout un univers riche, construit et cohérent. Il existe deux manières de l’aborder, que ce soit à travers les campagnes prêtes à jouer, ou en vous appropriant le lore pour y inventer vos propres histoires. En espérant que cet article vous aura donner envie de découvrir plus cet univers, de vous laisser tenter par une partie de démo à l’occasion d’un salon ou d’un évènement proposé par la communauté Pathfinder francophone. Et, pourquoi pas, voir fleurir plus de contenu Pathfinder compatible.

 

LIENS

 

7 pensées sur “Scoop ! Derrière le système Pathfinder se cacherait bel et bien un univers.

  • 5 juillet 2024 à 07:26
    Permalink

    Judicieux et très bon résumé de l’immense Pathfinder. La V1 des règles n’était pas ma tasse de thé en termes de « densité technique ». Je ne suis pas allé voir la V2 mais entre-temps la conversion Savage Worlds Adventure m’a bien plu et convenu pour ce qui est de la simplification des règles. Et kingmaker forever !

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  • 5 juillet 2024 à 08:14
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    Super article ! c’est sympa ce petit focus sur pathfinder en ce moment sur le site, j’en redemandé.

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    • 5 juillet 2024 à 12:58
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      C’est noté. On va réfléchir à d’autres articles possibles 😉

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  • 5 juillet 2024 à 08:25
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    Salut, c’est dommage de ne pas avoir cité à côté de aonprd (d’ailleurs attention c’est aonprd2 pour Pathfinder seconde édition), le site francophone https://pf2e.pathfinder-fr.org/ 🙂
    Merci pour l’article !

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    • 5 juillet 2024 à 12:57
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      Bonjour,
      J’avoue que cette semaine, je n’ai pas eu le temps de rajouter une liste de lien…
      Merci pour le rappel 🙂

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  • 5 juillet 2024 à 10:03
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    BBE avait parlé de campagnes PF sous COF non ? J’ai raté une info où ça n’est pas encore d’actualité ? Dans l’absolu ces PF remaster m’intéressent mais c’est un sacré investissement de base pour découvrir l’univers

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    • 5 juillet 2024 à 13:15
      Permalink

      Hello,
      BBE à mentionné un travail sur des conversions de campagne PF1 pour COF2 (vive les achronymes)

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